Plan anticancer
Résumé. En France, plus de 430 000 nouveaux cas de cancers par an, en approchant bientôt les 200 000 morts, toujours par an, même si ce n’est pas encore le chiffre officiel. C'est la projection la plus sûre. Pour comparer, ce sont 170 000 morts répertoriés pour le Covid-19 depuis 2020, ce qui est déjà beaucoup trop. La loi du silence. La cause génétique ne représente que 5% des cas en général. Cela dérange. On préfère ne pas modifier les traitements, sans tenter de clarifier les causes. L'empressement Covid à surréagir s'est envolé. Cela ne doit pas être rentable. Nous devrions par contre applaudir tous les soirs à 20h les soignants oubliés qui œuvrent chaque jour à trouver des solutions sans en avoir les moyens.
Essai sur la normalité.
Vous rangez, quelqu’un passe et dérange. Vous corrigez, on vous décorrige. Décourager implique qu’il y ait d’abord du courage. On peut cesser d’aimer et désaimer. Mais désaider revient à faire exactement le contraire de ce qui devrait aider. On désaide les patients avec des traitements inadaptés, pourtant justifiés et imposés. On désaide les personnes en faisant précisément l’opposé de ce qui pourrait réellement les aider. On détruit.
Les gens peuvent décider que tu mérites la mort ou non. Cela s’appelle le jugement. Cela s’applique même pour la maladie : il l’a bien cherché, etc. Dans mon cas, il semble que ce soit Dieu qui décide.
AGIR
Plan anticancer.
En cas d’anémie et carence en fer, il vaut mieux une perfusion à l’hôpital. Le fer est mal assimilé. Une cure de boudin ou de foie de veau ne suffit pas et vous pouvez avoir du mal avec les traitements préconisés type Tardyferon ou autres supplémentations plus légères. Le fer est essentiel pour le moral des troupes. Encore plus que le magnésium. Fatigue, mains et pieds froids, sifflement dans les oreilles complètent.
Un gène ne peut s’activer sans “interrupteur”. Or la génétique transmise ne représente qu’environ 5 % des cancers — parfois un peu plus selon les cas. Il est donc essentiel d’agir sur l’origine des facteurs qui déclenchent les mutations. Les protéines membranaires intrinsèques réceptrices et effectrices sont la clé des communications. Les réceptrices reçoivent le signal extérieur. Les effectrices sont les “exécutantes” de la réponse cellulaire. Les protéines intrinsèques réceptrices traversent complètement la membrane cellulaire. Les protéines intrinsèques effectrices sont dans la cellule. Le cytoplasme d’une cellule est constitué à 70–80 % d’eau. Dans le noyau, l’ADN est transcrit en ARNm, qui joue le rôle de “plan”. Les ribosomes lisent ce plan et fabriquent les protéines. La traduction (ARNm → protéines) a lieu dans le cytoplasme :
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Les récepteurs dans la membrane captent un message extérieur.
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Les effecteurs à l'intérieur réalisent la réponse.
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Le cytoplasme, riche en eau, est l’espace où agissent les effecteurs et où se fabriquent les protéines.
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L’ADN fournit les plans (ARNm), lus par les ribosomes pour produire ces protéines.
Les effecteurs donnent l’ordre à la cellule de produire certaines protéines, et ce sont les ribosomes qui exécutent cette “commande” selon un plan. Ces protéines effectrices (effecteurs) se trouvent à l’intérieur de la cellule, généralement dans le cytoplasme. La fameuse “mémoire de l’eau” ? En réalité, la mémoire de l’activation est portée par les protéines elles-mêmes et leurs modifications chimiques, stabilisées dans l’eau du cytoplasme. On peut toujours extrapoler. Par ailleurs, la détection et la première activation de la réponse immunitaire peuvent se faire directement dans le cytoplasme sans qu’une transcription nucléaire soit nécessaire. Alors, je reconfigure dans un premier temps de manière ferme mon cerveau : je peux changer les données qu’il contient. Je dicte des ordres. Je dois reformater mon disque dur, changer mes logiciels, savoir dire non. Mes cellules attendent un message clair.
A gene cannot be activated without a ‘switch’. Genetic inheritance accounts for only about 5% of cancers — sometimes a little more, depending on the case. It is therefore essential to act on the origin of the factors that trigger mutations. I reconfigure my brain. I have to reformat my hard drive, change my software, learn to say no. My cells are waiting for a clear message.
Je ne suis pas propriétaire de mes pensées, elles me sont souvent imposées. Ma volonté ne suffira pas. Je passe plus de temps à justifier de la vérité lorsqu’elle devrait s’imposer par elle-même. Je me suis sabordé moi-même. Cela semble illusoire ou prétentieux de partager ces pensées. Mais trouver sa vérité, c’est comme toute démarche scientifique, une démarche qui recoupe les informations afin d’arriver à un point d’efficacité. Que peut on faire pour combattre un cancer : prier, changer d’alimentation, subir des chirurgies, suivre un traitement. Agir différemment serait plus paisible. Mais attention, il faut être suivi. On ne peut trouver la vérité seul. Il faut de l’amour, de la tentation, de la peine, de la solitude, des échecs, des rêves, des nuits, des cauchemars. Et toutes ces pistes réunies peuvent donner une voie. La voie ne tombe pas du ciel. Cela se saurait hors miracles qui semblent assez peu nombreux pour toute l’histoire de l’humanité. Prenez un des leaders, Jésus, Īsā. Combien de miracles pendant son ministère ? 21 guérisons si on recoupe les évangiles, ce qui n’est pas mal en trois ans. Īsā عيسى (Issa) lui-même dit (Jésus) : en vérité, Allah est mon Seigneur (رَبِّي Rabbi) et votre Seigneur ; adorez-Le donc : voilà le chemin droit, (Coran 3:51)
إِنَّ ٱللَّهَ رَبِّى وَرَبُّكُمْ فَٱعْبُدُوهُ هَٰذَا صِرَٰطٌ مُّسْتَقِيمٌ.
En termes d’alimentation, les nitrites, le sucre, ne sont pas favorables. Les sucres simples nourrissent les cellules cancéreuses qui en raffolent. J’ai fait cette erreur, pour me retrouver avec l’équivalent d’un ballon de rugby de cellules cancéreuses au niveau du péritoine avec éventration. Plus elles grossissent plus la demande en sucre augmente et plus vous buvez par exemple de jus en pensant vous faire du bien. Le jambon blanc entre deux tranches de pain de mie non bio étant mon alimentation principale avec un peu de comté entre les deux. Pratique, efficace en termes de nutrition, mais à déconseiller fortement. Vous attisez le feu. Je suis passé à une alimentation de fromages et de yaourts à boire. Du lait demi-écrémé, bio si possible, et des eaux enrichies en vitamines, minéraux et oligo-éléments. Un bon état micro nutritionnel participe à la limitation de la carcinogenèse. C’est plus contraignant, l’eau étant par définition l’aliment le plus vite rejeté après absorption. Cela signifie un passage aux toilettes très régulier, ce qui limite les déplacements et la vie sociale. Si je dois travailler, il faut que je m’abstienne de boire et manger quatre heures avant la prestation. Le problème est qu’après la prestation il faut de nouveau s’alimenter sans capacité de stockage pour mon cas précis (plus de côlon et iléostomie). L’iléon est la dernière partie de l’intestin grêle qui fait suite au jéjunum. On pourrait qualifier mon régime de cétogène. Il pose un problème en termes de calories. On ne peut pas maigrir. Par contre, on a forcément plus de forces pour combattre. Le régime cétogène est un régime pauvre en glucides et riche en graisses. Les fibres ne sont pas digérées. Leur rôle est de pousser les aliments dans le côlon. Sans côlon, inutiles. Pour ceux qui ont encore un gros intestin, attention, les fibres sont des enveloppes qui contiennent le maximum de pesticides. On peut y inclure la peau des fruits et légumes, les tannins du vin. À part les personnes sujettes à la constipation, évitez les fibres. En cas de constipation, ne vous inquiétez pas, les pruneaux ou abricots secs sont là pour tout vous débloquer. Vous pouvez même les faire macérer et boire leur jus. Efficacité prouvée et redoutable. Un environnement enrichi en vitamines, oui essentiel pour moi. Vous pouvez aisément les ajouter dans votre eau quotidienne qu’il convient de varier. Les Indiens mâchaient des feuilles de tabac ou coca. Je tiens à la nicotine, nuits comprises. C’est remboursé, et les gommes aujourd’hui sont très bonnes. Je pourrai détailler ultérieurement les effets médicaux de la nicotine (neurotransmetteurs). Pour vulgariser, on pourrait noter ci-après des pistes de compréhension. Ce qui est certain, c'est que c'est avéré chez moi tant que l'inverse n'est pas démontré.
Ma devise : tant que j'ai raison, je suis vivant. Dès que j'aurai tort, je serai mort.
Des études expérimentales (principalement in vitro ou chez l’animal) ont montré que :
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La dopamine peut inhiber la formation de nouveaux vaisseaux sanguins (angiogenèse), un processus essentiel à la croissance des tumeurs.
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Elle peut moduler le système immunitaire, notamment en influençant l’activité des cellules NK (natural killer) ou des macrophages, qui participent à la destruction des cellules cancéreuses.
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Certains récepteurs de la dopamine (notamment D2) sont exprimés sur des cellules tumorales, et leur activation pourrait ralentir la prolifération dans certains cancers (sein, côlon, prostate…).
Nicotine → nAChR sur neurones dopaminergiques → ↑ dopamine.
→ nAChR sur neurones glutamatergiques → ↑ glutamate → ↑ dopamine.
→ nAChR sur neurones GABAergiques → ↓ GABA → ↑ dopamine.
Les neurones GABAergiques sont des neurones dont le principal neurotransmetteur est le GABA (acide γ gamma-aminobutyrique), le principal médiateur inhibiteur du système nerveux central.
Le cerveau fonctionne grâce à l’équilibre entre :
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Excitation (glutamate, dopamine…).
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Inhibition (GABA).
Les neurones GABAergiques transforment le glutamate, neurotransmetteur excitateur, en GABA, leur principal médiateur inhibiteur. La nicotine agit sur ces neurones en désensibilisant leurs récepteurs nicotiniques, ce qui réduit la libération de GABA. Cette baisse de l’inhibition libère les neurones dopaminergiques, entraînant une stimulation accrue et une augmentation de la dopamine.
Finalement, un plan anticancer tient en quelques lignes.
Ô saint Charbel, médecin de l’âme et du corps, que je sois libéré de tout mal. Merci.
Mon nom est Bonté
𓂋𓈖𓀀 𓊪𓅱 𓄤
Ren-i (mon nom) 𓂋𓈖𓀀
pou (est) 𓊪𓅱
Néfer (bonté) 𓄤
𓂋𓈖 Ren signifie « nom » en égyptien ancien.
mon (i) 𓀀 c'est (pou) 𓊪𓅱.
𓄤 Néfer signifie bonté, « goodness ».
Ce nom me protège, me guide et me rappelle qui je suis.
Celui qui est en paix
𓅓 𓊵𓏏𓊪 exprime la paix intérieure : « en paix ».
𓅓 = m → « en / dans » ;
𓊵𓏏𓊪 hotep → « paix, sérénité » (prononcé ḥetep ou he-tep).
Ainsi, je peux dire :
« Mon nom est Bonté, celui qui est en paix »
𓂋𓈖𓀀 𓊪𓅱 𓄤 𓅓 𓊵𓏏𓊪 → Ren-i pou Néfer
m-ḥetep
Pour survivre :
Richesses
En égyptien ancien, Dieu, donne-moi de l'argent ? On donnait de l’or. Donc, Ô Dieu, donne-moi de l’or.
𓇋𓂋𓊹 𓂧𓇋 𓈖 𓇋 𓏌𓅱
𓇋𓂋 ir (Ô) 𓊹 netjer « Dieu » 𓂧𓇋 di « donne ! » 𓈖 𓇋 ni « à moi » 𓏌𓅱 nebu « or »
→ Prononcez : « Ir NÉT-djèr, di ni nébou ! »
Mais attention, science sans conscience n’est que ruine de l’âme.
La mort doit intervenir quand tout est accompli. Elle est malheureusement souvent forcée brisant des destinés. Que dit Jésus sur la croix ? Les trois des sept dernières paroles sont :
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« J’ai soif. » (Jean 19:28). Normal.
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« Tout est accompli. » (Jean 19:30). Et il rendit l’esprit.
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« Père, je remets mon esprit entre tes mains. » (Luc 23:46).
En araméen ou en hébreux ? Selon moi, il s’en remet aux dieux (Elohim). L’instant étant plutôt solennel, je pense qu’il utilisait en 6 sa langue de prière et non sa langue du quotidien. J’ai ainsi retenu נִשְׁלַם, Nishlam, pour « tout est accompli », notion d’« achievement ». 7 ne peut être après 6 puisqu'il rendit l'esprit après le vinaigre. “Tout est accompli” n’existe donc pas chez Luc. "Père" serait pour moi plus dans l'esprit "Abba" (אַבָּא) en araméen, dans son quotidien, avec une notion de proximité d’affection, entre père et papa. Jésus parlait l’araméen galiléen occidental, pas le syriaque oriental. Retenons alors tséhēkānā pour j’ai soif (ē est un é allongé). Note, Luc 22:18, car je vous le dis, je ne boirai plus désormais du fruit de la vigne, jusqu'à ce que le royaume de Dieu soit venu. Cela me correspond bien.
ܐܢܐ ܡܫܠܡ ܠܟ → Anah meshalem lakh, « je m’en remets à toi. »
Ah‑nah… mesha-LEM… lakh… Ah‑nah → dire doucement, Anna, presque comme un souffle, pour marquer la confiance. Me‑sha‑LEM → accentuer légèrement “LEM”, comme pour souligner le geste de remise. Lakh → prolongez légèrement le “kh” du 'lac' à la fin pour lui donner une résonance plus profonde. Notez la proximité avec l’arabe pour le « je », Ana, et le « à toi », Laka. أنا أُسَلِّمُ لَكَ. Meshalem devient usallimu (ou-sal-li-mou) أُسَلِّمُ. "Ana ousallimou laka". Laki à une femme.
Il faut trouver une joie et une paix intérieure quelles que soient les circonstances.
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